Ipsen conforte sa position de leader dans la recherche sur les neurotoxines par une forte présence lors de la conférence TOXINS 2019
Paris (France), 11 janvier 2019 – Ipsen (Euronext : IPN ; ADR : IPSEY) a annoncé aujourd’hui que l’abobotulinumtoxinA (Dysport®) et son pipeline de toxines botuliques recombinantes feront l’objet de 50 posters lors de la conférence internationale TOXINS 2019. Les résultats d’études précliniques (in vivo, in vitro, ex vivo, in silico), cliniques (Phases I – IV) et d’une enquête patients/aidants seront présentés à cette occasion. Parmi les données présentées, on peut noter essentiellement des données complémentaires sur la différenciation de Dysport® dans le traitement de la spasticité et des mouvements anormaux1, les résultats de la première étude chez l’homme d’une neurotoxine recombinante (rBoNT-E), des données de vie réelle (ULIS-III), ainsi qu’une enquête réalisée auprès des patients et de leurs aidants sur le fardeau de la spasticité (Carenity).
« Les données qui seront présentées dans le cadre du congrès TOXINS 2019 différencient une nouvelle fois Dysport® dans le traitement de la spasticité et des mouvements anormaux, et démontrent les avancées réalisées dans notre pipeline, notamment avec les nouvelles toxines botuliques recombinantes, comme notre rBoNT-E à action rapide, » a déclaré Alexandre Lebeaut, Vice-Président Exécutif, R&D et Chief Scientific Officer, Ipsen. « Nous espérons réaliser pendant de nombreuses années encore des progrès réels et significatifs pour renforcer notre engagement à améliorer la vie des patients grâce à des traitements innovants et efficaces, et en transformant le paradigme de traitement par des approches personnalisées. »
Avec Dysport® (abobotulinumtoxinA), Ipsen permet d’aborder différentes indications thérapeutiques2 avec un seul produit. Injectée selon la posologie recommandée, la quantité de neurotoxine active dans Dysport® (données3 publiées dans Toxins, en décembre 2018) pourrait potentiellement être l’un des principaux facteurs responsable du soulagement symptomatique de longue durée constaté dans les études cliniques de phase 34-5 avec un profil de sécurité et de tolérance bien caractérisé. Avec une durée d’action longue, Dysport®cherche à répondre à un besoin non satisfait pour les patients et leurs familles.
Alexandre Lebeaut a ajouté : « Nous sommes fiers et impatients de présenter ces nouvelles données lors du congrès TOXINS 2019 qui s’appuient sur les 30 ans d’expérience clinique de Dysport®. Nous allons poursuivre nos investissements dans ce médicament unique par des recherches et des études cliniques afin d’explorer davantage son potentiel et de répondre aux besoins des patients. »