ATHLETISME
Valentin Bertrand
Médaillé de bronze en saut en longueur lors des championnats mondiaux 2023.
Adepte du concept philosophique Ubuntu, selon lequel chaque être humain partage un lien qui le relie à toute l’humanité.
Dès maintenant et tout au long de l’année 2024, Ipsen sponsorise cinq athlètes talentueux dans leur parcours vers les Jeux Paralympiques de 2024.
ATHLETISME
Valentin Bertrand
Médaillé de bronze en saut en longueur lors des championnats mondiaux 2023.
Adepte du concept philosophique Ubuntu, selon lequel chaque être humain partage un lien qui le relie à toute l’humanité.
AVIRON
Margot Boulet
Médaillée de bronze aux Jeux Paralympiques de Tokyo 2020.
Ancienne membre du GIGN, l’unité tactique d’élite de la Gendarmerie Nationale Française.
TIRS SPORTIFS
Gaëlle Edon
Médaillée d’argent au pistolet à air comprimé 10 m féminin à la Coupe du monde WSPS en 2023.
Créatrice de la Pelle Tenace, une association qui permet aux personnes en situation de handicap de pouvoir pratiquer le para-aviron.
ATHLETISME
Angélina Lanza
Médaillée de bronze au saut en longueur aux championnats du monde 2017 et 5 fois médaillée lors des championnats d’Europe.
Possède un Master en langues étrangères : ” les langues sont pour moi une porte qui nous ouvre sur le Monde. “
BADMINTON
Mathieu Thomas
17 fois champion de France, 6ème au classement mondial en simple, 1er en double.
Parcourt le monde afin de partager son histoire personnelle, son succès et ses motivations.
Jennifer Schranz (Responsable mondiale,Maladies Rares,Ipsen) a participé au Liver Meeting du 10 au 14 novembre, partageant les enseignements clés de son séjour sur place et expliquant pourquoi les congrès scientifiques sont essentiels pour faire progresser l’innovation au bénéfice des patients. Avec un nombre passionnant de sessions et d’abstracts axés sur les maladies cholestatiques du foie, Jennifer nous explique pourquoi les maladies cholestatiques rares du foie sont au centre de l’attention.
Le Liver Meeting est un congrès annuel organisé par l’Association américaine pour l’étude des maladies du foie (AASLD) au cours duquel des experts du monde entier se réunissent pour partager et discuter des dernières recherches, connaissances et avancées dans le domaine des maladies du foie. Cette année, la réunion de cinq jours s’est tenue à Boston dans le Massachusetts.
Les travaux restitués lors du congrès de la European Society of Medical Oncology (ESMO) cette année comprenaient de nouvelles données révélant d’importantes avancées dans la mise au point de nouveaux traitements contre le cancer. Cependant, le cancer reste un défi majeur de santé publique dans le monde, et des millions de vies sont touchées chaque année. Bien que d’importants progrès aient été accomplis dans le traitement du cancer au fil des décennies, la complexité, la diversité et l’adaptabilité de la maladie nécessitent une innovation continue.
L’innovation externe, qui s’appuie sur divers partenariats, donne accès à un grand nombre de chercheurs, scientifiques et cliniciens spécialisés qui sont pour la plupart des chefs de file de la recherche sur le cancer. Ces experts apportent de nouvelles perspectives et connaissances susceptibles d’accélérer la découverte et le développement de médicaments. Cette approche peut également donner accès à des technologies de pointe, comme la médecine de précision, l’immunothérapie et la thérapie génique, qui révolutionnent actuellement le traitement du cancer.
La démarche d’innovation externe s’inscrit au cœur de la stratégie d’Ipsen qui vise à construire un portefeuille de R&D diversifié et pérenne à chaque stade de développement, en recherchant des programmes exclusivement via des partenariats à la pointe de la recherche clinique.
Grâce à notre agilité et notre présence mondiale, nous collaborons avec des partenaires spécialisés afin d’accélérer l’innovation via de nouveaux traitements potentiels pour leur donner les meilleures chances d’atteindre les patients qui en ont le plus besoin. L’acquisition par Ipsen d’Epizyme Inc. l’année dernière témoigne de cette approche, combinant l’expertise des collaborateurs d’Ipsen et d’Epizyme pour optimiser les perspectives d’une approche épigénétique prometteuse dans le traitement des tumeurs solides et hématologiques.
La lutte contre le cancer nécessite une approche multidisciplinaire et collaborative. L’approche résolue d’Ipsen consistant à fédérer les expertises par l’innovation externe traduit notre engagement à faire progresser les soins en oncologie, dans les maladies rares et en neurosciences. À mesure que la recherche sur le cancer continue d’évoluer, notre engagement envers ces partenariats externes restera essentiel pour faire progresser la thérapeutique et, à terme, améliorer la vie des patients du monde entier, renforçant ainsi notre engagement envers les patients et la société.
La Fédération européenne des associations et industries pharmaceutiques (EFPIA) a demandé à Dolon d’élaborer un rapport pour évaluer l’impact de la proposition de législation pharmaceutique développée la Commission européenne. Le rapport Dolon, publié le 6 novembre, conclut que la législation telle que proposée en l’état par la Commission pourrait avoir un impact négatif sur la recherche et le développement dans l’industrie pharmaceutique en Europe, et potentiellement sur la vie des patients dans le monde entier. Certaines de ces possibles conséquences sont illustrées ci-dessous.
Pour en savoir plus sur l’impact potentiel la proposition de la Commission européenne: le communiqué de presse de l’EFPIA est accessible ici et le rapport complet ici.
Ipsen a organisé une journée Investisseurs (Capital Markets Day) le 7 décembre 2023 à Londres.
Un enregistrement de l’événement est disponible ci-dessous.
Cet évènement était l’occasion de rencontrer la direction et également de faire le point sur la stratégie et les opportunités de notre portefeuille de produits R&D, les moteurs de nos principaux médicaments sur le marché ainsi que les perspectives à moyen terme.
IPSEN EN BREF
Notre vision est d’être une entreprise biopharmaceutique mondiale de taille moyenne, qui focalise ses efforts sur les médicaments innovants dans les domaines de l’Oncologie, des Maladies Rares et des Neurosciences.
Découvrez Ipsen en deux pages : nos médicaments et chiffres clés, nos objectifs et notre stratégie.
Si vous ne parvenez pas à vous inscrire au webcast en raison de la politique informatique de votre entreprise, veuillez envoyer un e-mail à : paula.brooks@ipsen.com
Il est particulièrement crucial de développer l’innovation pour les personnes atteintes de maladies rares. Les différentes pièces du puzzle (la viabilité clinique, la viabilité économique et le contexte politique) doivent toutes être assemblées avant que l’innovation n’atteigne les patients.
D’un point de vue scientifique, les maladies rares présentent des difficultés inhérentes liées aux petites populations, aux données limitées, à la compréhension et parfois même aux compétences disponibles. La technologie peut également ne pas être accessible pour diagnostiquer correctement et traiter efficacement et en toute sécurité. Par conséquent, les chercheurs rencontrent parfois des difficultés pour définir les bons critères d’évaluation et concevoir des essais cliniques qui mesurent de manière efficace l’impact des traitements novateurs.
Le modèle d’innovation en biopharma est caractérisé par des coûts initiaux élevés et un risque d’échec important, avec de potentiels retours sur investissement qui n’arrivent que bien plus tard. Les incertitudes entourant le succès sont encore plus conséquentes dans le domaine des maladies rares, car les programmes de recherche centrés sur les maladies rares ont montré des taux d’échec plus élevés. Par le passé, les bénéfices économiques pour l’investissement dans le domaine des maladies rares étaient marginaux et nécessitaient un cadre politique de soutien afin de réduire les incertitudes et de récompenser les entreprises qui relevaient le défi d’investir dans ce secteur.
Des cadres politiques solides et prévisibles sont nécessaires pour les maladies rares. C’est pourquoi il est très important que les entreprises qui travaillent pour lutter contre les maladies rares aient la possibilité d’échanger sur les défis et les obstacles auxquels elles font face. Cette semaine, l’équipe Ipsen s’unit pour que l’innovation dans le domaine des maladies rares soit possible lors du Congrès international sur les médicaments orphelins (World Orphan Drug Congress) à Barcelone.
Martine Zimmerman SVP Regulatory Affairs & Quality, Lisa Marsden – SVP Global Head Value & Access, Dr. Fei Shih – Asset Lead for Fidrisertib et Dr. Kim Croskery – Medical Director aborderont chacune un défi parmi les aspects scientifiques, réglementaires et d’accès, et lanceront un appel à l’action dans un paysage politique en évolution pour les maladies rares, en particulier en Europe.
Nous pensons qu’il est crucial que les cadres politiques existants soient harmonisés et qu’ils tiennent compte des difficultés à produire des données sur les médicaments ultra-rares. Que l’innovation reçoive un investissement approprié avec des avantages qui récompensent les risques bien plus élevés qui doivent être pris dans la recherche scientifique et clinique portant sur les médicaments rares et ultra-rares, et que les exigences relatives aux données et preuves cliniques soient simplifiées afin de permettre d’accéder plus vite aux nouveaux traitements.
En travaillant ensemble, à la fois chez Ipsen et dans l’écosystème des soins de santé, nous pouvons atteindre l’objectif principal : proposer des innovations essentielles aux personnes atteintes de maladies rares.
Chez Ipsen, nous nous concentrons depuis de nombreuses années sur le développement de traitements nouveaux et innovants pour les maladies rares en endocrinologie, dans les maladies osseuses rares et plus récemment dans les maladies hépatiques rares. Cette orientation continue d’être un élément essentiel de notre stratégie de croissance.
Sandra Silvestri, Directrice Médicale d’Ipsen, partage ici ses réflexions sur les défis et les avantages de l’innovation pour la maladie hépatique cholestatique rare, auto-immune, la cholangite biliaire primitive ou CBP.
La CBP est une maladie qui affecte principalement les femmes, avec neuf femmes diagnostiquées pour un homme.1 Elle provoque une inflammation chronique des voies biliaires et, si elle n’est pas traitée, peut entraîner une accumulation de bile et de toxines (cholestase) dans le foie, provoquant inflammation chronique et cicatrisation du foie (cirrhose).1,2,3
La CBP est une maladie qui dure toute la vie et qui peut s’aggraver avec le temps.4 Si elle n’est pas prise en charge efficacement, la CBP peut entraîner des lésions hépatiques progressives et la nécessité d’une greffe du foie.1,2 De plus, la vie quotidienne des patients est affectée par des symptômes débilitants, notamment la fatigue et des démangeaisons sévères (prurit).5,6
Un patient atteint de CBP nous a dit : « Vivre avec une CBP peut être très difficile pour de nombreuses personnes. La peur de la progression de la maladie plane sur vous et vous devez gérer du mieux que vous pouvez le fardeau des symptômes quotidiens, des symptômes qui peuvent parfois être si débilitants qu’il faut toute sa force pour passer une autre journée.
Jusqu’à 40 % des personnes atteintes de CBP ne répondent pas au traitement de première intention.7 Si les patients ne répondent pas ou sont intolérants, le seul traitement de deuxième intention approuvé disponible provoque généralement un prurit ou des démangeaisons sévères comme effet secondaire, exacerbant la situation et des symptômes déjà débilitants.8
Comme Sandra le déclare dans cette vidéo, nous devons innover pour trouver de nouveaux traitements efficaces pour des maladies comme la CBP, qui ont des conséquences énormes sur la vie des personnes atteintes. Sans innovation, nous restons immobiles. Après près d’une décennie sans nouveaux développements, nous assistons désormais à une croissance dans les innovations médicales. Cela ne peut être que bénéfique pour les patients atteints de CBP, qui ont désespérément besoin de médicaments efficaces et bien tolérés pour gérer la maladie avec laquelle ils vivent.
Références
L’AVC est la deuxième cause de décès et la troisième cause de décès associé à une invalidité dans le monde. Environ 1 personne sur 4 âgée de plus de 25 ans est susceptible de faire un AVC au cours de sa vie.
Alors que la prévalence des AVC devrait augmenter de 35 % d’ici 2035, une prise en charge post-AVC rapide et pertinente restera essentielle pour prévenir toute récidive et préserver la qualité de vie des patients ayant survécu à un AVC. Toutefois, dans de nombreux pays, il existe encore des lacunes notables en matière de soins qui doivent être comblées. En Europe, le manque de parcours de soins établis a un impact négatif sur les résultats de santé à long terme de nombreuses personnes ayant survécu à un AVC, ce qui engendre des plus complications plus importantes pour ces patients, une pression accrue sur les prestataires de soins de santé et un coût économique conséquent pour la société.
Afin de relever ce défi mondial, Ipsen s’engage à sensibiliser le plus grand nombre à ce besoin non satisfait et à apporter les changements indispensables dans les parcours de soins post-AVC, les stratégies nationales de prévention de l’AVC ainsi que les programmes de rééducation multidisciplinaires, afin d’offrir un accès et des soins plus qualitatifs et équitables aux personnes qui rencontrent des complications après un AVC.
Chez Ipsen, nous sommes engagés à accompagner les personnes atteintes de maladies neurologiques invalidantes face aux défis du quotidien, y compris celles qui ont survécu à un accident vasculaire cérébral (AVC) et vivent avec des séquelles.
L’AVC est la deuxième cause de décès dans le monde, et la troisième cause de décès associé à une invalidité. Environ 1 personne sur 4 âgée de plus de 25 ans est susceptible de faire un AVC au cours de sa vie.
Alors que de plus en plus de personnes survivent à un AVC, il est vital d’accompagner les patients au quotidien après un AVC. C’est pourquoi nous travaillons à améliorer la prise en charge à long terme des personnes touchées par la spasticité post-AVC.
Déterminé à relever ce défi mondial, Ipsen œuvre à sensibiliser le plus grand nombre sur les besoins non satisfaits des personnes ayant survécu à un AVC et contribue à faire évoluer les parcours de soins post-AVC, les stratégies nationales de prévention de l’AVC ainsi que les programmes de rééducation multidisciplinaires afin d’offrir aux patients un accès plus qualitatif et équitable aux soins.
Une prise en charge tardive et non coordonnée après un AVC coûte cher aux patients, à la société et aux systèmes de santé. Dans l’optique de notre engagement à améliorer l’état de santé des patients, nous menons actuellement une étude scientifique mondiale auprès de plus de 1 000 patients pour évaluer l’incidence, le moment de la survenance, la gravité et les différents profils de la spasticité post-AVC afin de contribuer à définir de meilleures modalités de traitement pour les patients.
Rising to the challenge, a life after stroke
Dans le cadre de nos efforts visant à promouvoir la nécessité d’améliorer la prise en charge des personnes ayant survécu à un AVC, notre documentaire, lancé sur Reuters à l’occasion du World Stroke Day 2023, présente d’éminents chercheurs et défenseurs de cette cause, notamment Jon Barrick, membre honoraire et ancien président de Stroke Alliance for Europe, et le Professeur Peter Kelly, président élu de la European Stroke Organisation, qui, aux côtés d’Ipsen, soulignent la nécessité d’offrir aux patients un accès équitable aux soins post-AVC pour de meilleurs résultats de santé, des bénéfices socio-économiques significatifs et des systèmes de santé plus résilients dans le monde entier.
Enquête européenne sur la prise en charge post-AVC
Pour mieux comprendre l’impact d’un AVC sur les patients ainsi que leurs perceptions de la prise en charge post-AVC, Ipsen a commandé une enquête omnibus menée par CensusWide au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Italie et en Espagne en septembre 2023.
Une personne qui a survécu à un AVC ne se rétablit pas du jour au lendemain. Le processus peut prendre des semaines, des mois, voire des années pour les patients. C’est pourquoi les soins de long terme qu’ils reçoivent sont essentiels pour leur permettre d
Chez Ipsen, nous sommes extrêmement fiers de l’évolution de notre culture. Notre équipe démontre en interne et en externe notre culture de collaboration et d’excellence et le pouvoir qu’elle nous donne, ensemble, pour avoir un impact réel pour les patients et la société.
Mais ne nous croyez pas sur parole.
En octobre, Ipsen a été officiellement reconnu par le groupe Great Place to Work dans 14 pays : Algérie, Brésil, Canada, Colombie, Grèce, Irlande, Italie, Lituanie, Mexique, Pologne, Suède, Pays-Bas, Emirats Arabes Unis et Etats-Unis.
Nous célébrons également le fait d’avoir été reconnus par Forbes comme l’un des meilleurs employeurs au monde en 2023. En outre, nous avons été reconnus en France et aux États-Unis en tant que Top Employer, ainsi que par Shingo sur l’ensemble de nos sites de production en France.
Cette reconnaissance externe de notre culture est très importante pour Ipsen. Elle nous encourage à poursuivre notre engagement pour construire un lieu de travail positif pour tous.